Le Pentagone ADMET qu'il a testé des épaves de crashs d'OVNIS
Y compris un possible "métal mémoire" qui, selon les experts, aurait pu être récupéré lors du crash de Roswell en 1947.
Le chercheur Anthony Bragalia a obtenu plus de 150 pages de la S Defense Intelligence Agency après que l'agence a répondu à une demande de FOIA de trois ans.
Bien que la plupart des détails des rapports soient expurgés, ce qui peut être glané, c'est que ces technologies représentent un saut quantique littéral au-delà des propriétés de tout le matériel existant connu de l'homme, a écrit Bragalia.
Les pages comprenaient la mention répétée de "rapports de technologie avancée" entourant le Nitinol, décrit comme un alliage de récupération de forme.
Bragalia a partagé que le Nitinol avait des propriétés similaires au "métal de mémoire" trouvé près du site du crash d'OVNI de Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947.
Des pages de la réponse de la FOIA indiquent que le Pentagone explorait si le Nitinol pouvait être intégré dans le corps humain pour améliorer la santé.
Le Pentagone a admis posséder et tester des épaves de crashs d'OVNIS, le chercheur qui a trouvé la nouvelle surprenante émettant l'hypothèse que les débris pourraient provenir du célèbre crash de Roswell, au Nouveau - Mexique , en 1947.
Le chercheur Anthony Bragalia a fait la révélation sur son blog UFO Explorations, partageant qu'il avait obtenu plus de 150 pages de la US Defense Intelligence Agency (DIA) après que l'agence eut répondu à une demande de trois ans du Freedom of Information Act (FOIA) qu'il avait soumise.
Bien que la plupart des détails des rapports soient rédigés, ce qui peut être glané, c'est que ces technologies représentent un saut quantique littéral au-delà des propriétés de tout le matériel existant connu de l'homme, a écrit Bragalia dans son blog.
La demande FOIA de Bragalia était sans ambiguïté dans sa signification, selon le chercheur qui se targuait de trouver une faille pour des informations normalement confidentielles et secrètes.
La demande originale de 2017 de la FOIA faite à la DIA demande les descriptions physiques, les propriétés et la composition du matériel OVNI / UAP détenu par le gouvernement et son entrepreneur, a-t-il déclaré, avant d'ajouter qu'il se réfère au matériel UFO / UAP et débris récupérés par le personnel du ministère de la Défense sous forme de résidus, de flotsam, de matériel de tir ou de PAN écrasés ou d'objets volants non identifiés.
Bragalia a joint la demande FOIA et des parties des cinq documents auxquels il a eu accès, qui comprennent les 154 pages entières dont il disposait. Le chercheur a dit qu'il y avait plusieurs documents qui devaient être fortement expurgés.
Le document montre que les tests ont été effectués par Bigelow Aerospace, une société basée à Las Vegas, dans le Nevada, qui effectue un contrat privé pour le ministère de la Défense.
Bien que la plupart des détails des rapports soient expurgés, ce qui peut être glané, c'est que ces technologies représentent un saut quantique littéral au-delà des propriétés de tout le matériel existant connu de l'homme, a écrit Bragalia dans son blog.
Les pages comprenaient la mention répétée de "rapports de technologie avancée" entourant le Nitinol, décrit comme un alliage de récupération de forme.
Bragalia a partagé que le Nitinol avait des propriétés similaires au "métal de mémoire" trouvé près du site du crash d'OVNI de Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947.
Des pages de la réponse de la FOIA indiquent que le Pentagone explorait si le Nitinol pouvait être intégré dans le corps humain pour améliorer la santé, a écrit le chercheur dans son blog.
Bragalia souligne que plus de 40 témoins de l'accident de Roswell ont mentionné qu'un matériau semblable à du métal du site pouvait "se souvenir de lui-même" lorsqu'il était plié ou physiquement modifié.
